mardi 8 septembre 2015

AFFINEMENT DE L'OVALE DU VISAGE par injection de Botox : Traitement de l’HYPERTROPHIE DU MASSÉTER.

Cette technique permet de redéfinir l’ovale du visage : correction et affinement de la partie inférieure du visage : Traitement de la V-line par injection de botox.

Le traitement des muscles de la mâchoire par  injection de botox permet d’obtenir plusieurs effets spécifiques aux muscles masséter :

-       D’un point de vu esthétique, les injections de botox dans les muscles masséter au niveau de la mâchoire permet de mieux redéfinir l’ovale du visage en affinant la partie inférieure au niveau de l’angle de la mâchoire.
Cette technique de constitution de la V-Line du visage permet de diminuer le volume du muscle masséter (sans bloquer sa fonction), et ainsi d’affiner le bas du visage pour corriger une mâchoire carré et rendre un visage plus fin. 
Pour améliorer ce résultat, une injection complémentaire de botox dans le menton permet de renforcer l’effet V-Line en décrispant le muscle du menton.

-       D'un point de vu fonctionnel, les injections de botox à ce niveau peut permettre une diminution du bruxisme communément appelé « grincement de dents ».
Le traitement des muscles masséter par injection de botox diminue la tendance au bruxisme. La détérioration des dents est un des effets délétères du bruxisme.
-       Les douleurs articulaires de la mâchoire peuvent également être soulagé par des injections de botox. En effet, la toxine botulique permet de mettre au repos les muscles masséter et ainsi de diminuer la pression sur l’articulation temporo-mandibulaire.


En pratique le traitement du muscle masséter par du botox se fait par 4 points d’injections quasiment indolores.
La convalescence est instantanée, sans aucune gêne pour la reprise de son quotidien en post injection.

Le résultat du fait de la diminution du volume musculaire du masséter apparaît au bout d’1 mois et maximum à 2 mois pour une durée de 6 à 10 mois.

Dans certains cas, il peut y avoir une diminution de la force de mastication de 1 à 4 semaines. Durant cette période, une sensation de fatigue à la mastication peut y être associé.

lundi 23 janvier 2012

Quels sont les critères de sélection des différents implants mammaires?

Les implants mammaires sont de différentes tailles et formes. 

La taille de l'implant doit correspondre à la carrure de la patiente (poids et taille), du diamètre de la base de l'hémithorax et bien évidemment du souhait de la patiente. Ces deux critères objectifs associés à la demande (subjective) de la patiente, permettent de choisir un volume qui donnera toute satisfaction à la demande d'augmentation mammaire. 

Pour ce qui est de la forme de la prothèse, ronde ou anatomique (en goutte d'eau), c'est l'effet souhaité par la patiente qui dirigera notre choix. Pour une forme ronde avec un décolleté "bombé" on privilégiera plutôt une prothèse ronde et pour un désir de silhouette moins prononcé au niveau du décolleté avec une courbe du sein plus douce et donc plus naturelle, on choisira une prothèse anatomique.  

Qu'attendre d'une liposuccion ?


La correction des surcharges graisseuses par liposuccion une technique sûr et efficace.

La liposuccion (technique pour retirer la graisse excédentaire par une micro-incision) est une méthode de traitement radicale et définitive de toutes les localisations d’amas graisseux rebelles aux régimes alimentaires et à l’exercice physique.
Différents termes expriment le concept de liposuccion (lipoaspiration, liposculture, lipoplastie…). Cette intervention mise au point en 1977 est un des actes de chirurgie esthétique les plus pratiqué dans le monde depuis ces dernières années.
La liposuccion permet un remodelage esthétique de la silhouette en gommant les zones graisseuses excédentaires. La liposculture harmonise ainsi le corps et redessine les courbures et les formes.

dimanche 11 septembre 2011

TRAITEMENT DES SÉQUELLES D'AMAIGRISSEMENT :


La Chirurgie de la silhouette après une perte de poids corrige les excès cutanés (de peau) grâce à différentes opérations chirurgicales bien codifiées.
Les principales interventions proposées afin de réadapter la peau et redonner une silhouette affinée et galbée, sont :

-       L'ABDOMINOPLASTIE : corrige les excès cutanés et graisseux du ventre.
-       LA FLANCOPLASTIE : traite les excès de peau au niveau du dos et des fesses.
-       LE BODYLIFT correspond à l’association de la plastie abdominale et de la flancoplastie en une seule opération.
-       LA CRUROPLASTIE : correspond au lifting de la face interne des cuisses (enlève l'excès de peau).
-    LA BRACHIOPLASTIE : correspond au lifting de la face interne des bras (enlève l'excès de peau).

-       LA CURE DE PTÔSE MAMMAIRE : corrige les seins abîmés et vidés suite à l’amaigrissement (sein tombant).

Bien que les nouvelles techniques chirurgicales se soient efforcées de placer les cicatrices dans les zones les moins exposées et qu’elles soient toutes cachées dans les vêtements, elles restent néanmoins indélébiles.
Les différentes interventions entrant dans le cadre de la chirurgie de la silhouette suite au séquelle d’amaigrissement sont prises en charge par la sécurité sociale, hormis la chirurgie mammaire.
Une demande d’entente préalable est remplie par le chirurgien et envoyée à la caisse primaire d’assurance maladie. Un rendez-vous avec un médecin-conseil est parfois demandé par la sécurité sociale pour donner son accord.
Les dépassements d’honoraires sont alors pris en charge complètement ou en partie en fonction du contrat de la mutuelle souscrit.

Il s’agit donc d’une chirurgie fonctionnelle et esthétique qui va améliorer la silhouette, permettre de se ré-approprier son corps et de retrouver une qualité et une joie de vivre en société.


Quelques exemples de Chirurgie de la Silhouette via le site professionnel :

jeudi 31 mars 2011

Différence entre Acide Hyaluronique (Fillers) et Toxine Botulique (Botox):

Les produits injectables utilisés en médecine esthétique ont des activités, des utilisations et des résultats bien différents.
Un produit ne peut pas se substituer à l'autre étant donné leur mécanisme d'action très différent.
La confusion pour les patients vient du fait que les 2 produits ont le même mode d'application, à savoir, l'injection et sont tous les 2 entièrement résorbables, c'est à dire, disparition complet des effets des produits au bout de quelques mois.

L'acide hyaluronique est un produit de comblement qui permet de remplir et donc d'estomper un creux ou un sillon.
Ceux ci apparaissent avec l'âge, dû en partie à un relâchement des tissus cutanés (effet de ptôse) et à une fonte des réserves graisseuse et du tissu matriciel de la peau, entraînant l'apparition d'un visage émacié.
Ainsi, les classiques sillons nasogéniens, plis d'amertumes (au coin de la bouche), rides péri buccales, fonte et chute des pommettes qui apparaissent avec les années sont les indications de choix des produits de comblement comme l'acide hyaluronique.
Même si les injections d'acide hyaluronique permettent d'améliorer et d'atténuer ces marques du temps, l'efficacité et le résultat ne peut être attendu que sur des sillons peu marqués, peu creusés lors des premiers signes du vieillissement cutané du visage. Après 55-60 ans, les injections d'acide hyaluronique ne donnent que très peu de résultat, souvent décevant, ne pouvant pas corriger de façon efficace les stigmates du temps. Le seul traitement permettant, alors, une réelle correction n'est apporté que par la chirurgie avec le lifting cervico-facial.

La toxine botulique est un produit actif qui met au repos les muscles de la mimique (paralyse le muscle dans lequel il est injecté) ce qui à pour conséquence de diminuer et faire disparaitre les rides et ridules lié aux expressions du visage.
Contrairement à l'acide hyaluronique, la toxine botulique ne remplit pas un creux, n'apporte pas de volume, mais lisse la peau en paralysant spécifiquement le ou les muscles qui la faisait plisser.
Les expressions du visages liées à nos mimiques quotidiennes sont les raisons de la majorité des rides et ridules qui apparaissent sur la moitié supérieure de notre visage.
L'air "contrarié" ou énervé entraine avec le temps et la répétition la formation de rides entre les sourcils et la classique ride du lion. L'étonnement favorise les rides frontales. Le sourire et l'éblouissement l'apparition des rides et ridules de la patte d'oie autour des yeux.
En injectant la toxine botulique spécifiquement dans les muscles responsables du plissement de ces zones, il y a un effet immédiat de lissage et d'atténuation quasi complet des rides. De fait, il faut s'attendre à une diminution de l'expressivité du visage qui doit être dosé en fonction du résultat attendu.

L'acide hyaluronique et la toxine botulique ont donc des mécanismes d'action très différents et un produit ne peut certainement pas être substitué à un autre. Par contre leurs différences font leur intérêt puisqu'ils constituent un arsenal thérapeutique complémentaire que l'on peut associer pour traiter dans le même temps  les différentes zones du vieillissement cutané du visage.


D'autres explication sur le site: MÉDECINE ESTHÉTIQUE 

mercredi 23 mars 2011

Amaigrissement, chirurgie de l'obésité, et après?

Le surpoids et plus particulièrement l’obésité est un facteur de risque sur la santé (problème cardio vasculaire, hypertension artérielle, diabète…), diminuant l’espérance de vie.
Par ailleurs, les sujets obèses voient leur qualité de vie déclinée, avec un inconfort physique et des problèmes articulaires.
La chirurgie de l’obésité, également appelée chirurgie bariatrique (anneau gastrique, bypass, sleeve gastrectomie…), donne de très bon résultat et tant à se développer.

La perte de poids obtenue par la chirurgie de l’obésité n’est pas une fin en soi mais une étape vers un mieux-vivre et doit s’inscrire dans une démarche globale, comprenant un travail psychologique, alimentaire et corporel (chirurgie et activité physique).
En effet, l’obésité traitée et le facteur de risque éliminé, il n’en reste pas moins une gêne fonctionnelle, sociale et esthétique, pouvant entraîner une souffrance psychologique.
L’amaigrissement se solde par une déformation des caractéristiques morphologiques, lié à une peau distendue qui a perdu son élasticité. avec des conséquences sur la perception de l’image de soi difficile à accepter.
Après une importante perte de poids, la peau en excès retombe au niveau du tronc et de l’abdomen (besace ou tablier abdominale), des seins et de la racine des cuisses et des bras.
Ainsi, malgré l’amaigrissement, l’aspect du corps est décevant et il ne correspond pas aux attentes du patient. Cette déception est d’autant plus grande que la perte pondérale est importante.
Par ailleurs, les répercussions fonctionnelles telles que la macération des plis, les difficultés à se vêtir et à se mouvoir sont invalidantes.

Ainsi, la demande de ces patients pour une chirurgie réparatrice à une justification fonctionnelle et psychosociale. La chirurgie reconstructrice après une perte de poids importante améliore la perception individuelle de satisfaction dans la vie quotidienne.
La Chirurgie Plastique n’est pas une chirurgie de l’obésité, mais du traitement de ses séquelles.
Lorsque le poids est stable depuis plusieurs mois, soit parce que le patient a atteint le poids désiré, soit parce que la perte de poids stagne, la chirurgie plastique peut intervenir.
La peau qui a été distendue de manière importante a perdu ses capacités élastiques de rétraction. De plus, la distension s’accompagne de larges vergetures, marques indélébiles de la souffrance cutanée liée à l’étirement excessif.
Les résections plus ou moins importantes des volumes cutanéo graisseux à exciser entraînent des cicatrices plus ou moins longues.
Il s’agit donc d’une chirurgie fonctionnelle et esthétique qui va améliorer la silhouette au prix de séquelles cicatricielles, placée dans des zones les moins exposées et cachées dans les vêtements mais longues et définitives.

jeudi 10 mars 2011

Pourquoi est il nécessaire de changer les prothèses mammaires tous les 10 ans ?

Tous les chirurgiens plasticiens doivent informer leurs patientes qui souhaitent une augmentation mammaire esthétique, de la nécessité d’accepter, de fait, une réintervention pour changer les implants mammaires à moyen-long terme, classiquement conseillé au bout de 10 ans.

Cela veut-il dire qu’il y a un risque particulier au bout de 10 ans ?

Il n’y a pas un compte à rebours qui débute, tel un minuteur, dès que la prothèse mammaire est mise en place !.
Cette limite des 10 ans a été fixée lors d’un colloque par un consensus entre chirurgiens plasticiens spécialistes et les fabricants (les laboratoires).

Pusieurs facteurs ont été pris en compte pour expliquer cette date « limite » des 10 ans.
-     L’usure des prothèses est peu quantifiable, mais elle existe assurément avec les années. Celles-ci peuvent alors être potentiellement fragilisées et plus enclins à se rompre lors d’un traumatisme. Bien que les fabricants ont nettement amélioré la qualité de leur prothèse, le risque zéro n’existe pas et il y aura toujours un risque de rupture de prothèse.
-     Avec les années, le corps change, par les variations pondérales, ou simplement l’âge et le vieillissement cutané. Ces changements entraînent une modification et une détérioration du résultat esthétique d’une augmentation mammaire.

C’est pour ces raisons qu’il est important de prendre conscience et d’accepter, avant toute décision pour une opération d'augmentation mammaire, les futures interventions de changement de prothèse qui auront lieu en moyenne tous les 10 ans.
Ceci est le seul garant d’une prise en charge responsable qui accompagnera et limitera les risques, les dégradations et au bout du compte les déceptions.
Les 10 ans sont donc un peu arbitraires, mais au moins les futures patientes sont prévenues.
Le changement des prothèses mammaires permet ainsi régulièrement de mettre des implants neufs et de corriger dans le même temps les défauts apparus avec les années.

fiches explicatives à télécharger:site d'information de la SOFCPRE